"J'ai appris la photographie avec un chien. C'était la nuit, ou plutôt les nuits. Il m'en a fallu tant pour percer le soir et distinguer les ombres. J'ai appris la photographie avec lui qui ne disait rien, mais qui voyait tout. Nous marchions côte à côte, délesté de la laisse, vestige d'autorité de l'imbécile qui arbore le bonheur minuscule d'ordonner la route à un être qui la connaît déjà." Jean-François Spricigo
Tiré d'une série de photos, réflexion sur la frustration, le manque, et les conséquences, le mouvement lié au désir, l'influence du passé sur le présent.
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